Projet UserXP
Comparaison de la facilité d’utilisation entre deux rappels alimentaires de 24 heures sur le Web
L'institut sur la nutrition et les aliments fonctionnels (INAF) de l'Université Laval recrute des hommes pour une étude qui vise à comparer la facilité d'utilisation ainsi que les apports nutritionnels obtenus avec deux outils Web d'évaluation alimentaire nommés « rappels de 24 heures ». Les rappels de 24 heures consistent à indiquer tous les aliments et boissons consommés la journée précédente de minuit à minuit.
Recrutement terminé
Critères d’admissibilité
- Être un homme
- Être âgé(e) de 18 ans et plus
- Avoir accès à Internet et posséder une adresse courriel active
- Avoir accès à un ordinateur ou une tablette électronique
- Être capable de répondre à des questionnaires en français
- Ne pas être nutritionniste ou étudier en nutrition
Votre implication
- Votre participation à cette étude consistera à remplir deux rappels de 24 heures sur le Web avec un premier outil. Par la suite, vous serez invité(e) à remplir deux autres rappels de 24 heures sur le Web avec un deuxième outil. Après avoir utilisé chacun des outils, vous serez invité(e) à remplir un questionnaire portant sur leur facilité d’utilisation. Quatre courts questionnaires seront également à remplir au début de l’étude. Le temps nécessaire pour remplir l’ensemble des questionnaires, incluant les quatre rappels de 24 heures, est d’environ deux heures réparties sur un mois.
Vous recevrez
- Vous serez éligible au tirage de deux livres (Le Soulard des sportifs et l’ADN de l’alimentation québécoise) et de trois chèques cadeaux Sports Experts de 50$ chacun.
- Vous recevrez également un bref bilan de votre alimentation.
Pour plus de renseignements
Laramée
Catherine
Professionnelle de rechercheUniversité Laval
L’étude « Comparaison de la facilité d’utilisation entre deux rappels alimentaires de 24 heures sur le Web » a été approuvée par le comité d’éthique de la recherche de l’Université Laval : No d’approbation 2019-226 A-4 R-1 / 20-05-2021 et est sous la responsabilité du chercheur Benoît Lamarche.
